Ça commence par l'histoire d'un mec
[edit] 2021, j’ai toujours rien publié. On recommence ?
De prime abord, Aligator, ça pourrait vous faire penser à un mec qui publie son blog sans avoir compris que ça s’écrit avec 2 L
et … c’est presque ça.
C’est l’histoire d’un mec qui rentre d’un salon sur l’Open Source, un sac rempli de souvenirs.
Parmi les magazines gratuits, les lunettes aux branches vert fluo, clés USB et autres balles anti-stress, une peluche, mascotte d’une distribution Linux dont il se fiche royalement, mais gratuite. Comment resister ?
Un petit caméléon vert, la queue fidèlement enroulée et souriant jusqu’aux oreilles, vient orner son bureau et lui offrir une compagnie adéquate pour ses prochaines nuits de procrastination d’exploration intellectuelle. Il l’appelle M. Gator, Ali Gator et finit par l’emporter au bureau pour l’exhiber fièrement à quiconque viendra le solliciter.
Bon, pas de bol, personne ne voit le rapport entre un caméléon en peluche et un alligator et, pour couronner le tout, M. Aligator, il lui manque un L
. Mais le mec il s’en fout un peu, parce que son jeu de mot, il lui plaît, à tel point qu’il décide que, dorénavant, M. Aligator sera son unique pseudonyme, et le caméléon sa petite mascotte à lui.
Je retourne au titre.
C’est donc l’histoire d’un mec qui bosse dans l’informatique et se perd souvent au milieu de ses sujets, de ses idées et de ses aspirations capricieuses. Et comme il ne sait pas encore trop vers où tout ça va le mener, il se dit qu’en attendant de savoir, il peut toujours les partager. Il crée un blog et lui donne un nom sympa et qui ne veut rien dire, si ce n’est une histoire de reptiles et d’orthographe.
Je suis M. Aligator, Ali pour mes lecteurs, et je rouvre ce blog, aussi vide soit-il. Puissions-nous y trouver quelque chose à lire un jour.
On se laisse sur un morceau de Disasterpeace, arrangé pour piano par David Peacock… si le player s’affiche.